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202 .Op.cit.,I,pp.142—143.Autres exemples,la multiplicité des petites rivières près d’Andrinople（ibid.,II,10）.Dans Ignacio de Asso,Hist.de la economía polética de Aragon,1798（réédition 1947）,cf.détails sur le “pantanal”de Benavarre（p.84）,sur la plaine de Huesca（72—73）,de Saragosse（94 et sq.）,de Téruel（186）.
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203 .B.N.Paris,Ital.,1220,fol.35.
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204 .Philippe LECA,La Corse…,op.cit.,pp.213 et 270;J.de BRADI,op.cit.,p.25.
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205 .A la saison des pluies,les plaines sont des lacs ou des champs de boue（J.J.THARAUD,La Bataille à Scutari,1927,p.53,à propos des plaines albanaises）;les étangs de boue et les marécages que crée la Bojona débordée （ibid.,p.148）.
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206 .Ainsi,en 1940,dans le Sud de l’Espagne;en janvier 1941,au Portugal,en février 1941,en Syrie;en octobre 1940,dans le bassin de l’Èbre （informations de presse）.Inondations à Cordoue,31 décembre 1554 et 1er janvier 1555,Francisco K.de UHAGON,Relaciones históricas de los siglos XVI y XVII,1896,p.39 et sq.
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207 .Gal Éd.BRÉMOND,op.cit.,p.17;du même auteur,Yémen et Saou dia,1937,p.11,note 6.
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208 .Sur la malaria,les ouvrages utiles sont légion.L’orientation est à chercher dans Jules SION,“Étude sur la malaria et son évolution en Méditerranée”,in
:Scientia,1938;dans M.SORRE,Les fondements biologiques de la géogr.hum.,1942,et dans l’excellent article de M.LE LANNOU,“Le rôle géographique de la malaria”,in
:Annales de Géographie,XLV,1936,pp.112—135.L’intéressant serait de pouvoir mesurer et cartographier la poussée de la malaria durant la dernière guerre mondiale en méditerranée,avec lemanque de quinine.Pour l’histoire,les travaux les plus importants sont ceux d’Angelo CELLI,“Storia della malaria nell’agro romano”,in
:M.R.Ac.dei Lincei,1925,7e série,vol.I,fasc.III;The history of Malaria in the Roman Campagna from ancient times,Londres,1933,et d’Anna CELLI-FRAENTZEL,“Die Bedeutung der Malaria für die Geschichte Roms und der Campagna in Altertum and Mittelalter”,in
:Festschrift B.Nocht,1927,2 pl.,1 carte,pp.49—56;“Die Malaria in XVIIten Jahrhundert in Rom und in der Campagna,im Lichte zeitgenögsischer Anschauungen”,in
:Arch.f.Gesch.der Medizin,XX,1928,pp.101—119;“La febbre palustre nella poesia”,in
:Malariologia,1930.Sur la malaria en Crimée,comte de ROCHECHOUART,Mémoires,op.cit.,p.154.
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Quelques détails pour le XVIe siècle.La réputation d’insalubrité de Chypre est telle,que dans les contrats de transport signés entre pèlerins de Terre Sainte et capitaines de vaisseau,ceux-ci promettent de ne pas faire escale plus de trois jours à Chypre,Reinhold ROHRICHT,Deutsche Pilgerreisen nach dem Heiligen Lande,1900,p.14.D’après G.BOTERO,op.cit.,marais pestilentiels près de Salses,p.5;villes malsaines,Brindisi,Aquilée,Rome,Ravenne,Alexandrie d’Égypte,I,1,p.47
:Albenga sur la rivière génoise possède une plaine très riche 《ma l’aria n’è pestilente》,p.37.A Pola,les citadins abandonnent la ville,pendant l’été,à cause des fièvres et y reviennent l’hiver,Philippe CANAYE,Le voyage du Levant,op.cit.,p.206.Paludisme（?）de la reine d’Espagne à Ségovie,en août 1566,Célestin DOUAIS,Dépêches de M.de Fourquevaux,ambassadeur de Charles IX en Espagne,1565—1572,Paris,1896—1904,III,p.10;accès de paludisme de Philippe II à Badajoz,M.PHILIPPSON,Ein Ministerium unter Philipp II,Berlin,1895,p.188.
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209 .M.SORRE,op.cit.,p.388.En septembre 1566,toute l’Espagne travaillée par les fièvres （Fourquevaux à la Reine,Ségovie,11 septembre 1566,DOUAIS,op.cit.,III,18）.
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210 .Op.cit.,p.263.
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211 .Jules LECLERCQ,Voyage en Algérie,1881,frappé des ravages du paludisme dans les basses ｒégions d’Algérie,écrivait,p.178
:“Si les Européens ne peuvent vivre dans les vallées,pourquoi ne crée-t-on pas des villages de montagne?”
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212 .Au nombre des problèmes posés,hier encore par l’installation de lacapitale turque à Ankara,notons la malaria de la plaine voisine;Noëlle ROGER,En Asie Mineure,1930,p.46.
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213 .Cité par M.SORRE,Fondements biologiques,p.344.
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214 .W.H.S.JONES,Malaria,a neglected factor in the history of Greece and Rome,Londres,1907.
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215 .P.HILTEBRANDT,Der Kampf ums Mittelmeer,1940,p.279.Léon X,grand chasseur,aura lui aussi,sans doute,succombé à un accès de paludisme （Gonzague TRUC,Léon X,1941,p.71 et 79）.Dante lui-même n’est-il pas mort de la malaria,comme,vingt ans plus tôt,Guido Cavalcanti?（L.GILLET,Dante,1941,p.340.）Ceci sous toutes réserves.
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216 .P.HILTEBRANDT,ibid.,p.279.
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217 .Bernardo SEGNI, Storie fiorentine… dall’anno 1527 al 1555,1723,p.4.
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218 .J.B.TAVERNIER, Voyages,I,p. 110,parle des marais d’Alexandrette,en 1691.
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219 .K.ESCHMID,in
:Werner BENNDORF,Das Mittelmeerbuch,Leipzig,1940,p.22.A propos de l’extension de la malaria,qu’y a-t-il derrière ces lignes de STENDHAL（Promenades…,II,164）
:“M.Metaxa,je crois,médecin célèbre et homme d’esprit,a fait une carte des lieux attaqués par la fièvre”?
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220 .A.d.S.Venise,Brera 54,fo 144 vo .
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221 .Francesco GUICCIARDINI,La historia d’Italia,Venise,1568,p.2,（L’Italie tranquille）cultivata non meno né luoghi piü montuosi et piü sterili,che nelle pianure,et regioni sue piufertili.Cf.les étonnantes remarques de MONTAIGNE,op.cit.,p.237,autour de Lucques,depuis une cinquantaine d’années（1581） les vignes ont remplacé sur les montagnes “les bois et les châtaignes”,p.248“…la méthode qu’ils ont de cultiver les montagnes jusqu’à la cime”.Je ne suis donc pas d’accord avec le beau passage de MICHELET,La Renaissance,Paris,1855,pp.31—32.Ph.HILTEBRANDT,op.cit.,p.268 voit le problème dans le même sens que moi.Les Italiens participent aux grandes découvertes—le Vénézuela n’est-il pas la petite Venise?—mais l’espace ne fait pas défaut,à cette époque,à la population italienne;sa bourgeoisie ne sait pas voir au delà de l’horizon ｍéditerranéen;il manque à la Péninsule,pour finir,ces querelles religieuses qui poussèrent Anglais et Hollandais au delà des mers.
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223 .Auguste JARDÉ,Les Céréales dans l’Antiquité grecque,1925,p.71,références à Strabon.A.PHILIPPSON,“Der Kopais-See in Griechenland und seine Umgebung”,in
:Zeitschr.der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin,XXIX,1894,pp.1—90.P.GUILLON,Les Trépieds du Ptoion,1943,pp.175—195.
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224 .M.R.DE LA BLANCHÈRE,“La malaria de Rome et le drainage antique”,in
:Mélanges d’Arch.et d’hist.,p.p.l’École française de Rome,II,1882,p.94 sq.
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225 .Est-ce le premier de ces “Hollandais”,de ces Nordiques,que cet ingénieur,ce dijkmeester que le nonce envoie à Ferrare à la demande du Pape,en 1598,et qui,pour épuiser l’eau,semble songer à des moulins à vent?Correspondance de Frangipani,p.p.Armand LOUANT,1932,t.II,Bruxelles,13 juin,17 juin,25 juil.,13 août 1598,pp.345,348,362—363,372.
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