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1706510018 173 .Voir les tableaux de la page 359: les voyages de Berbérie s’interrompent, en 1525; Jacques de MAS LATRIE, Traités de paix et de commerce, 1868, p. 273 (22 mai 1518); également, sur la détérioration du commerce avec la Berbérie, M. SANUDO, op. cit., XXV, col. 338.
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1706510020 174 .Voir infra, II, les graphiques de la page 31.
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1706510022 175 .Museo Correr, Donà delle Rose, 26, f° 191 et 194 (1588). A titre de comparaison, 6 juillet 1671, Marciana VII, MCCXVIII, 18, la Zecca frappe plus d’un million de ducats en pièces.
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1706510024 176 .Clemens BAUER, op. cit., p. 151, note 47 de la page 48.
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1706510026 177 .A.d.S., Naples, Sommaria Partium, 591, f° 225—235, 22 décembre 1569.
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1706510028 178 .Archives des Bouches-du-Rhône IX B 171, f° 6 v°, Alger, 7 mai 1579.
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1706510030 179 .6,000,000 de ducats, en 1605; 9,000,000, en 1609 dans les coffres du Deposito Grande de la Zecca. A ce sujet, nombreuses références dans les liasses de Senato Zecca. F. BRAUDEL, in :La civiltà veneziana del Rinascimento, Fondazione Giorgio Cini, 1958, p. 101.
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1706510032 180 .Voir supra, p. 267.
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1706510034 181 .Peut-être à partir de 1575—1580 si j’interprète bien un texte sans précision, Museo Correr 161, f° 2, 14 décembre 1593: le jeu des changes et rechanges introduits sur la place de Venise, par des changeurs étrangers “per il più fiorentini”.
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1706510036 182 .E. MAGATTI, “Il mercato monetario veneziano alle fine del secolo XVI”, in: Archivio Veneto, 1914, pp. 289—292.
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1706510038 183 .Museo Correr, Donà delle Rose, 42, f° 27 v° (s.d., fin XVIe siècle).
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1706510040 184 .Ibid., 181, f° 61 et 65 v°, il s’agit d’un extrait du “sornal de ziri” somme totale: 2,979,090 ducats et 17 denari. Un autre journal, dit-on à l’enquêteur, présente le relevé des changes “che non girano”, donc “secchi”.
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1706510042 185 .C’est ce qu’annonce le travail en cours de Maurice Carmona consacré à la Toscane au XVIIe siècle.
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1706510044 186 .Voir le mot d’un marchand florentin, au XVe siècle, rapporté par A. MONTEIL, Histoire des Français, VII, pp. 424—425: “Les marchands français, vous n’êtes que des détaillants, des revendeurs”.
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1706510046 187 .Voir supra, p. 295 et note 1.
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1706510048 188 .Ruggiero ROMANO, “Tra XVI e XVII secolo. Una crisi economica: 1619—1622”, in: Rivista Storica Italiana, 1962, pp. 480—531, et “Encore la crise de 1619—1622”, in: Annales E.S.C., 1964, pp. 31—37.
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1706510050 189 .Baltasar Suarez à Simon Ruiz, Florence, 15 janvier 1590 “Cierto es gente que les parece todo el mundo es poco para barcarle”, Archivo Provincial, Valladolid.
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1706510052 190 .Sur cette recherche “polaire”, signalons les excellentes pages de Federigo MELIS, “Il commercio transatlantico di una compagnia fiorentina stabilitata a Siviglia a pochi annidalle imprese di Cortes e Pizarro”, in: V. Congreso de Historia de la Corona de Aragon, 1954, spécialement p. 183 et sq. C’est à Florence centre du monde avec le premier XVIe siècle que pensenotre collègue … Mais pourquoi pas Lyon? Annonçons aussi les travaux inédits de Felipe Ruiz Martin et de J. Gentil da Silva.
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1706510054 191 . Voir infra, p. 454 et sq.
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1706510056 192 .A.d.S., Gênes, Materie politiche, privilegi, concessioni, trattatti diversi et negoziazioni 15—2734, n° 67. Trattato di commercio stipulato tra il Soltano Hacmet Han, Imperatore degli Ottomani e la Republica di Genova.
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1706510058 193 . Tous les problèmes relatifs à la démographie de l’Empire ottoman ont été renouvelés par Ömer Lutfi Barkan et ses élèves. L’énorme effort pour dépouiller les documents relatifs aux recensements turcs du XVIe siècle approche de ses conclusions. Grâce à l’amabilité de notre collègue d’Istanbul, j’ai pu utiliser les résultats encore inédits que résume la carte du tome II, pp. 12—13. Pour le sens et les étapes de ces recherches, se reporter à Ömer Lütfi BARKAN, “La Méditerranée de F. Braudel ”, in: Annales E.S.C., 1954, “Quelques observations sur l’organisation économique et sociale des villes ottomanes des XVIe et XVIIe siècles”, in: Recueils de la Société Jean Bodin, VII, La Ville, Ire partie, 1995, p. 289 et sq. A ces études il convient d’ajouter le résumé dactylographié des leçons du Professeur Barkan à l’Ecole des Hautes Etudes(1963).
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1706510060 194 .Le meilleur exposé d’ensemble reste toujours, à ce sujet, l’article de Julius BELOCH, “Die Bevôlkerung Europas zur Zeit der Renaissance”, in: Zeitschrift für Socialwissenschaft, III, 1900; pour l’Italie on le complétera par l’ouvrage posthume du grand historien allemand, Bevölkerungsgeschichte Italiens, t. I, 1937; t. II, 1939; t. III, 1961. Pour la France, le vieil ouvrage de LEVASSEUR n’a pas été remplacé, La population française, 1889—1892. Pour le Portugal, Lucio de AZEVEDO et les autres historiens portugais acceptent une population d’un million, cf. G. FREYRE, Casa Grande, 1946, p. 166; R. KONETZKE, op. cit., p. 271. Sur l’Espagne, cas très litigieux, l’ouvrage de Konrad HAEBLER, Die wirtschaftliche Blüte Spaniens, 1888 (critiquable et que critique encore insuffisamment l’article de J.BELOCH), d’Albert GIRARD “Le chiffre de la population de l’Espagne dans les temps modernes”, in: Rev. d’Histoire moderne, 1928, précis, bien informé, mais discutable dans ses conclusions; du même auteur, “La répartition de la population en Espagne, dans les temps modernes”, in: Revue d’hist. écon.et soc., 1929, pp. 347—362. Je ne crois pas à la valeur décisive du travail de Fuentes MARTIANEZ, Despoblacion y re-poblacion de Espana(1482—1920), Madrid, 1929, le chiffre de la population de l’Espagne me semble surestimé à l’époque des Rois Catholiques. Pour la difficile question des vecinos, le coefficient 4,5 me semble comme à J. Beloch, juste ou du moins justifiable. Le chiffre de 8 millions pour la fin du XVIe siècle est celui auquel s’arrête Fuentes Martianez. Pour la seule Castille, on verra les chiffres classiques de Tomas Gonzalez, que j’ai reproduits en tableau. J’ai trouvé à Simancas, E° 166, un document, Consulta del Consejo de Guerra sobre la introduccion de la milicia de 30 U hombres en estos reynos, 13 janv. 1589, copie. La population des royaumes de Castille y est estimée à 1,500,000 vecinos, soit au coefficient 4,5: 6,750,000 habitants. Les chiffres de R. KONETZKE, op. cit., pp. 260—261, sont trop bas.
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1706510062 Pour tous ces calculs démographiques, les bases sont peu solides, Ils ne valent guère mieux que ceux de G. BOTERO, op. cit., II, a, pp. 64—65, auxquels on ne s’est pas, à ma connaissance, souvent arrêté (Italie moins de 9, France 15, Sicile 1,3, Allemagne 10, Angleterre 3, Italie plus que l’Espagne). A.G. BOTERO, Dell’isole, p. 62 et 79, je prends deux autres chiffres, la Corse, 75,000 hab., Chypre, 160,000, et surtout son opposition entre Chrétienté et Islam (II, p. 119), l’une qui souffre de la multitude, l’аutre de la pénurie des hommes.
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1706510064 Le danger vient des estimations exagérées pour le bon vieux temps, ainsi pour le cas de Milan au XVe siècle comme A.FANFANI l’a montré (Saggi, p. 135) contre S. PUGLIESE, ainsi pour les Rois Catholiques. Et aussi de ce que nos recensements sont des recensements fiscaux, K.J. Beloch l’a bien dit, mais n’en a pas moins continué ses additions. Et reste la fraude:vers 1613, Antonio SERRA, Breve trattato delle cause che possono far abondare li Regni d’oro e argento… con applicatione al Regno di Napoli, Naples, 1613, p. 38, pense “giudicando all’in grosso” qu’il y a à Naples un million de feux “con li franchi e fraudati”.
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1706510066 195 .Konrad OLBRICHT, “Die Vergrosstädterung des Abendlandes zu Beginn des Dreissigjahrigen Krieges”, in : Pet. Mit., 1939, p. 349, avec biliogr. et une carte.
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