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214 .Philippe II au grand-duc,S. Lorenzo,17 juin 1589,Simancas Eo 1452.
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215 .R.EHRENBERG,op.cit., I,p.351. A rapprocher de l’indication sur A.Spinola des notes de Longlée,3 mars 1590,op.cit., p.391.
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216 .Antonio Dominguez ORTIZ,“Los estrangeros en la vida española durante el iglo XVII”,in
:Estudios de historia social de España,1960,p.304, note 10.
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217 .L’indication formelle dans Ralph. de TURRI,Tractatus de cambiis, Disp. 3. Qu. 13. No. 78; S. Contarini au doge, Valladolid,16 décembre et 30 décembre 1602 （A. d. S. Venise,Senato Dispacci Spagna）; Lettres missives de Henri IV,VI,p.16. Le roi à M. de Beaumont,18 janvier 1603,“Le Roy d’Espagne a bienar resté son party des onze millions d’or auxquels on m’a escript avoir adjousté encore un million…”. Le party jouera sur trois ans: 3 millions chaque année pour les Flandres,plus deux autres millions pour la Maison Royale. Ces chiffres sont assez proches de la réalité.L’asiento signé à Valladolid,le 31 décembre 1602,se monte exactement à 7,200,000 escudos （payables en Flandres en 36 pagas）
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2,400,000 ducados （payables en 36 pagas à Madrid, Séville,Lisbonne, Simancas）, Contadurias Generales,1o 96.C’est dans cette série que se trouve la collection entière de ces asientos que j’ai dépouillée personnellement, en 1951,laissant la suite de ce travail à Alvaro Castillo Pintado qui l’a conduit à son terme. Voir le graphique,infra, II, p. 40,qui,donnant les chiffres complets, m’a fait penser qu’il était inutile de fournir toutes ces références et de corriger le texte ancien de mon travail qui introduit seulement ce gros problème.
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218 .Philippe II à Juan de Lastur,S. Lorenzo,4 avril 1587,A. N.,K 1448,minute.
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219 .Amedeo PELLEGRINI,Relaz. inedite di ambasciatori lucchesi…,Rome,1901,pp.13—14,à propos du voyage de Compagno Compagni en 1592,voyage d’hiver avec naufrage d’une galère （120 galériens se noient）. La flotte transportait de 600 à 800,000 écus et des caisses de pièces de monnaie.A noter l’exactitude des remarques de CERVANTES,La Gitanilla, I,p.64,sur ce Génois qui envoie de l’argent d’Espagne à Gênes par les galères et sur les occasions de galères à Carthagène. L’argent espagnol transporté aussi,licitement ou non,par des naves marchandes,ainsi à bord de la nave San Francisco,chargée à Alicante et à Ibiza,arrivée à Livourne le 3 mars 1585,21,700 reali,A.d.S., Florence,Mediceo 2,080.
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220 .Simón Ruiz à B.Suàrez,Medina del Campo,17 avril 1583.
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221 .A. d. S.,Venise,Senato Dispacci Spagna,Fco Morosini au doge, Madrid,18 janvier 1614.
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222 .Voir en sens contraire le compte rendu d’Émile COORNAERT,in
:Revue du Nord,déjà cité par nous.
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223 .Émile COORNAERT,op.cit., pp. 28—29,l’ascension jusqu’en 1569,p.30 “en 1580 quand déjà beaucoup de gens sont partis…”.
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224 .R. B. MERRIMAN,op.cit., IV,pp.285—286. L’altération des monnaies aux Pays-Bas en 1585 （Émile COORNAERT,op.cit., p.46）n’est-elle pas une conséquence,un dernier stade?
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225 .En 1579, il n’y a plus à Anvers qu’une maison espagnole d’importance,4 lucquoises, 5 génoises,14 italiennes,10 portugaises,R.EHRENBERG,op.cit., II,p.192.
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226 .A.Vaticanes Spagna 27,Le cause per le quale il sermo Re di Portugallo…,1573,Fos 161 à 162.Les troubles bancaires de Séville en 1565—1567.
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227 .V.VÁZQUEZ de PRADA,op.cit., I,p.28, note 30.
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228 .D’après A. von REUMONT,op.cit., I,p. 355, c’est en 1575 que les quelques firmes florentines qui y demeurent encore abandonnent Lyon pour aller à Besançon, Chambéry, Avignon…Pour R. EHRENBERG,op.cit., I, p. 306 il ne reste, en 1575,que quelques Italiens à Lyon, les autres sont partis vers Paris. En 1592, seule survivante, la banque de Capponi, reprise en 1594 par le célèbre Lucquois Zametti. Sur ce gros chapitre, voir L’HERMITTE à DE SOLLIER,La Toscane française, Paris,1661,qui traite des banquiers italiens installés Paris. Dans le cadre toscan, la chute de Lyon n’est-elle pas une des causes du rapprochement hispano-toscan au delà de 1576?La façon dont s’infléchit la vie toscane en direction de l’Espagne, R.GALLUZZI,op. cit., III, p. 505 et sp.
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229 .R.EHRENBERG,op.cit,II,p.191.
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230 .Ordenanzas del Consulado de Burgos de 1538,p.p. Eloy GARCIA de QUEVEDO y CONCELLON, Burgos, 1905. Longue introduction, Décadence dès 1556?p. 71. La date me semble trop précise. D’après Marie Helmer,qui me confirme son point de vue dans une note du 21 mars 1965,les signes de déclin apparaissent vers 1566; la crise marque des Pointes en 1568,1570 et 1572. La chute est un fait accompli en 1573 et ses effets sont ineversibles.
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231 . A. de CAPMANY,op.cit., IV, p. 337 （1594）. A Barcelone création, en 1609,du Nuevo Banco“per mes ampliar la Taula del Cambi”,A. P.USHER,op.cit.,p.437.
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232 .Du Ferrier à Henri III,Venise,8—13 mai 1575,E.CHARRI ÈRE,op.cit.,III,p.595.
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233 .Simancas Eo 343 （1595）.
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234 .D. de HAEDO,op.cit., p.24 et 24 vo ;R.HAKLUYT,op.cit., II,p.176 （1584）.
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236 .P.GRANDCHAMP,op.cit., par exemple,I,pp. 17,18,23,87,etc.Le fait déjà remarqué par A. E. SAYOUS,Le commerce des Européens à Tunis depuis le XIIe siècle,1929.
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237 .D.de HAEDO,op.cit.,p.177 vo .
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