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261 .C’est l’opinion de F.RUIZ MARTÍN,Lettres marchandes…
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262 .A.d.S.Gênes,Spagna 38,documents de 1647 à 1650.
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263 .Dans les pages qui suivent j’ai mis à contribution deux travaux de Felipe RUIZ MARTÍN Lettres marchandes échangées entre Florence et Medina del Campo, il s’agit des lettres expédiées ou reçues par Simón Ruiz puis son neveu Cosme Ruiz à destination ou en provenance de Florence,de 1577 à 1606,ces lettres sont précédées d’une longue et magnifique introduction. Le second ouvrage qui m’a été communiqué avant sa publication prochaine,Elsiglo de los Genoveses en Castilla （1528—1627）
:capitalismo cosmopolita y capitalismos nacionales, est à mon avis le plus beau livre sur l’Espagne du XVIe siècle,depuis les travaux classiques de Ramón Carande.
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264 .Je suis impressionné,en effet,par les arrivées massives de métal blanc à Gênes,encore à la fin du siècle. Voir à partir de 1670 la correspondance du Consul français à Gênes,Compans,A. N.,Affaires Étrangères B 1511,Gênes.Voir aussi la courbe des frappes de la Zecca de Gênes d’après la publication d’U.MERONI,supra, p.452,note 7.
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265 . Ramón CARANDE,“Sevilla fortaleza y mercado”,in : Anuario de Historia del Derecho español, II,1925 （tirage à part）,pp.33,55 et sq.Jacques HEERS,op.cit., références nombreuses au mot Séville à l’index.
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266 .Frank SPOONER a bien noté que les Génois ont su profiter en ces années tournantes de la valorisation de l’or,op. cit., p.21.
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267 .Renée DOEHAERD,Études anversoises, I,1963,p.33.
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268 .Cf.F.RUIZ MARTÍN,Lettres marchandes…,p.XXIX et sq., et l’excellent article d’Alvaro CASTILLO PINTADO,“Los juros de Castilla apogeo y fin de un instrumento de credito”,in: Hispania,1963. Les juros de caucién （de caution）ne se vendent pas.En obtenant des effets négociables（les juros de resguardo） ou, comme l’on dit, les resguardos, les hommes d’affaires atteignent l’épargne publique,en Espagne comme hors d’Espagne,particulièrement en Italie. Les resguardos vendus aux épargnants sont remboursés au moment du règlement de l’asiento（le finiquito）,en titres portant même intérêt.Les Génois sont donc maîtres d’un marché encore peu cohérent de rentes diverses par leur taux,leur nature et leurs assignations.Mais il y a des risques
:ainsi en 1575,à cause de ses spéculations sur les resguardos,le prince de Salerne,Nicoló Grimaldo,faisait une banqueroute retentissante,Alvaro CASTILLO PINTADO,art.cit.,p.9.
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269 .Felipe RUIZ MARTÍN, Lettres marchandes…, p.XXXII.
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270 .Simancas Consejo y Juntas de Hacienda,37,Decreto sobre la paga de las mercedes y otras deudas,Tolède,14 novembre 1560.
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271 .Ibidem.
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272 .Felipe RUIZ MARTÍN,Lettres marchandes…, p.XXXII.
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273 .V.MAGALHÃES GODINHO,op.cit.,p.420,en 1435 le quintal à 3,072 réais,en 1564,33,421. Brusque chute en 1568.
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274 .B.N.,fr.9093,fo 78 ［1640］.
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275 .A.d.S.,Venise,Cinque Savii, Riposte 1602—1606,fos 189 vo à 195,16 janvier ［1607］.
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276 .2 avril 1597,A.d.S.,Gênes Spagna 12.
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277 .En particulier dans les Lettres marchandes…, le chapitre II,“L’argent vassal de l’or”,p.LIII et sq.
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278 .D’après le livre de compte,imprimé par ses soins,de Francisco de Lixalde pagador del exercito de Flandes,à partir du 12 mars 1567.Ce livre sous le titre manuscrit,Tanteos tomados en Flandes al pagador Francisco de Lixalde hoja de catorze meses antes que falleciese, Simancas.,p.26.C’est le livre publié,d’après une copie latine,par M.F.RACHFAHL,Le registre de Franciscus Lixaldius,trésorier général de l’armée espagnole aux Pays-Bas,de 1567 à 1576,1902,187 p.,8o .
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279 . L. GOLDSCHMIDT, Universalgeschichte des Handelsrechtes,1891,p.127.
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280 .G.LUZZATTO,op.cit.,p.180.
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281 .Lucien FEBVRE m’indique que,d’après les registres municipaux de Besançon （requête de Thomas Doria au magistrat de cette ville,27 juillet 1566）,ce fut en 1534—1535 que la cité impériale attira chez elle les banquiersgénois “qui avaient délaissé faire leur résidence ès lieux de Lyon et de Monluel et se tenoient en la ville de Lons-le-Saunier”.Sur ces foires
:CASTAN,“Granvelle et le Saint-Empire”,in: R. Historique, 1876,t.I,p. 113,note;P.HUVELIN,Droit des marchés et des foires, 1907;le discours de CONTARINI,1584,in: A.LATTES,La libertà delle banche a Venezia, Milan,1869,p.121; R.EHRENBERG,op.cit., I,p.342,II,p.227;Jacques SAVARY DES BRUSLONS,Dic.universel de Commerce, Copenhague,1760,V,“Foire”,II,pp.679—680;L.GOLDSCHMIDT,op.cit.,p.237.
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282 .Sur ce qui précède,Domenico GIOFFRÉ,Gênes et les foires de change : de Lyon à Besançon,1960,pp.115—119.
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283 .Lucien LEBVRE,op.cit., p.22,note 4,p.110,note 3,j’ai trouvé（Archives du Doubs,B. 563）,la requête des banquiers génois demandant l’autorisation de tenir leurs foires à Poligny,13 août 1568; R. EHRENBERG,op.cit., II,p.227.
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284 . J. SAVARY DES BRUSLONS,Dictionnaire universel de Commerce, II,p.227.
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285 . Je fais allusion aux travaux de Felipe RUIZ MARTÍN et de José GENTIL DA SILVA.
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