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1706518699 242 . Le même au même, juin 1559, ibid., f° 44.
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1706518701 243 . Ibid.
1706518702
1706518703 244 . Paris,11 juil.1559, ibid., f° 49.
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1706518705 245 . J.DURENG,“La complicité de l’Angleterre dans le complot d’Amboise”, in: Rev.Hist. mod., t. VI, p.248 et sq.; Lucien ROMIER, La conjuration d’Amboise, 3e édit., p.73; E.CHARRIERE, op. cit.,II, p.595.
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1706518707 246 . Ruy Gomez et duc d’Albe à Philippe II,Paris, 8 juil.1559, A. N.,K 1492, f° 48,Henri II est perdu.
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1706518709 247 . L. P. GACHARD, op. cit., I, p.122 et sq.,27 mai 1555.
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1706518711 248 . Ibid.,p.124, la reine de Hongrie à l’évêque d’Arras, 29 mai 1556.
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1706518713 249 . Ibid., I, p.XLI et sq; pp.341-352; II, p.CXXXVII et sq, p.390.
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1706518715 250 . Historiae de rebus Hispaniae…,le tome I(le seul publié)de la continuation, par le P. Manuel José de MEDRANO, Madrid, 1741.
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1706518717 251 . Ajoutons que les erreurs sont fréquentes et la chronologie généralement inexacte.Philippe II s’est embarqué le 25 août à Flessingue, il débarque le 8 sept.à Laredo. Pour Campana le Roi a mis à la voile le 27,pour Gregorio Leti le 26…Les historiens modernes dont la lignée commence avec Robertson et Prescott ont reproduit ces données anciennes.
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1706518719 252 . Voyez le résumé de ces voyages dans C. BRATLI, op. cit., p.188,note 280,et, pp.101-102.
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1706518721 253 . Essai sur l’administration de la Castille au XVIe siècle,1860, pp.43-44.
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1706518723 254 . E. ALBÈRI, Relazioni, I, 1, p.293 et sq., juillet 1546.
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1706518725 255 . M.PHILIPPSON, Ein Ministerium unter Philipp II.Kardinal Granvella am spanischen Hofe,1579-1586, 1895.
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1706518727 256 . Cf. article de C. PEREZ-BUSTAMANTE,“Las instrucciones de Felipe II à Juan Bautista de Tassis”, in: Rev.de la Biblioteca, Archivo y Museo, t. V, 1928, pp.241-258.
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1706518729 257 . Simancas E° 343.
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1706518731 258 . Louis Paris, op. cit.,p.42,note 1.
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1706518733 259 . Ibid., p.42.
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1706518735 260 . Voici le court récit de Jean de Vandenesse:“…le joeudy,jour de sainct Barthelemey,écrit-il, 23e en aougst, Sa Majesté soupa au dict Son-bourg; et après souppé vint à Flessinghe. Et environ les unze heures de nuict s’embarqua en sa nave,demeurant sur l’ancre jusques le vendredy sur le tardqu’il feit voille.Ledit jour environ les neuf heures du matin, les princes et seigneurs des Pays Bas prinrent congié du Roy et de tous;que ne fut sans re-gret,soupirs et larmes et pitié a veoir,voyant leur Roy naturel les habandonner…Et environ le midy arriva la duchesse de Parme,accompaignée du prince son fils et de plusieurs autres seigneurs,vint prendre congié de Sa Majesté. Et sur l’heure de vespres Sa Majesté feit voille,et passant avec assez bons vens les detroictz et dangiers des bancqz a veue de Dunckercke de Calaix et de Douvre navigea jusques au cannal près l’isle de Vicq(Wich).Entrant en la mer d’Espaigne,nous prindrent les calmes de sorte que fumes quinze jours en mer. Et le huictième de septembre jour de Nostre Dame,Sa Majesté et aulcunes navieres prindrent port à Laredo où Sa Majesté désembarqua et fut ouyr la messe en l’église et y coucha ce dit jour,questoit un vendredy,et fut l’on empesché tout le jour à desembarquer ce que l’on peust.Les ulques que sont vasseaulx pesantz et aulcunes aultres navieres ne peurent prendre port si tost. Et le samedy Sa Majesté partist du dit Laredo environ une heure après midy pour aller à Colibre qu’est demye lieue plus enterre que Laredo. A la quelle heure s’en commença une si véhémente tormente en mer et en terre que les navieres qu’estoient au port sur l’ancre ne pouvoient résister qu’elles ne vinssent à périr et donner à travers;qu’est grande pitié à veoir perdre les naves gens et bagues. Et les aultres furent contrainctes courir la fortune par la mer .En terre les arbres desracinoient et les thuilles vouloient des thoiz des maisons et dura tout le jour et toute la nuict…”,in: L. P. GACHARD et PIOT,Collection des voyages des souverains des Pays-Bas,1876-1882, IV p.68 et sq.
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1706518737 261 . Voici résumé le témoignage d’Ardinghelli: Ardinghelli suit en Zélande les déplacecements de Philippe II,assure la liaison avec lui. Le 23 août, il prévient Marguerite de Parme pour que celle-ci vienne faire ses adieux à Philippe II. Embarqué le 25, il profite en route des commodités qu’offrent les bateaux rencontrés pour donner des nouvelles de la santé du prince.Le 26 août,entre Calais et Douvres,il indique que tout marche à souhait et que des pilotes ont été pris à bord pour assurer la sécurite de la navigation à travers les bancs de sable.Philippe II ne voudra pas relâcher,écrit-il le 27, les précieux pilotes avant l’lle de Wight.Le Roi est peut-être responsable de la lenteur de la marche,le vent s’est levé mais le souverain ne veut pas se séparer des hourques,sinon les navires auraient déjà fait trente lieues de plus.“Le voyage ne peut être que prospère,conclut-il, tous les lieux dangereux étant dépassés, d’aujourd’hui en huit nous espérons être en Espagne”. Une barque espagnole rencontrée en route, emporte une lettre datée du 31.Le voyage se poursuit par très beau temps.“Nous serons cette nuit hors du canal…”.La corespondance s’interrompt ensuite jusqu’au 8 septembre.Ce jour-là,Ardinghelli écrit:“Louanges à Dieu qui nous a finalement conduits tous sains et saufs dans ce port de Laredo.Après notre sortie du canal d’Angleterre, le temps a été si variable qu’il a trompé les marins plus d’une fois,nous avons éeé incommodés tantôt par la honace tantôt par le vent contraire,mais grâces à Dieu nous n’avons pas eu de tempête.Hier soir enfin, s’est levé un mistral qui nous a conduits cette nuit à plaisir jusques à terre…”.De Laredo encore (il ne doit quitter le port que le 14) Ardinghelli écrit, le 10:“…samedi dernier(9 septembre) dans le milieu de la journée se déchaîna en mer une tempête si terrible que ce fut une grande grâce de se trouver à terre.Les navires qui étaient dans le port se sont sauvés avec la plus grande peine…trois d’entre eux ont donné par le traversdans le port même sans qu’il y ait toutefois perte d’hommes ni de marehandises.Les hourques qui sont demcurées en arrière auront forcément courru de grands dangers,on est jusqu’à présent sans nouvelles d’où des craintes très vives…”.Pourtant le 13,la “flotte des Flandres”arrivait“sans avoir aucunement souffert de la tempête passée…”.Joie de chacun: les hourques transportaient les serviteurs et les biens des seigneurs qui accompagnaient Philippe II.Ces lettres d’Ardinghelli aux Archives farnésiennes de Naples, Spagna fascio 2, du f° 186 au f° 251.
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1706518739 262 . Philippe II à Chantonnay,26 sept.1559(et non 1560,indication du classement),A. N., K 1493, B 11,f° 100(minute)“…des navires qui vinrent avec l’armada sur laquelle j’ai gagné ces royaumes,un seul manque qui n’ait pas paru jusqu’à présent.II appartient à un dénommé Francisco de Bolivar de Santander. II transportait la garde-robe des régents de mon conseil d’Italie et de quelques-uns de mes secrétaires et autres serviteurs,ainsi que vous le verrez d’après un mémoire joint à cette lettre…”.Certains bruits affirmaient que le navire avait gagné La Rochelle. Sur ce navire perdu, L. P. GACHARD,Retraite…,op. cit., II, p.LVII.
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1706518741 263 . G. LETI. La vie de Philippe II , 1679, I, p.135.
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1706518743 264 . L. P. GACHARD, Retraite…, op. cit., I, p.122 et sq.
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1706518745 265 . Actas de las Cortès de Castilla,1558,I.
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1706518747 266 . CODOIN, XXVII.
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