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270 .Ibid.,27,avant le 9 mai 1558.
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271 .Ibid.,25.
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272 .Ibid.,32.
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273 .Ibid.,67.
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274 .Ibid.,23.
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275 .Ibid.,31.
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276 .Voir supra,p.69.
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277 .Domenico SELLA,Commerci e industrie a Venezia nel secolo XVII,1961,p.87 et sq.
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278 .Sur ce vaste problème,le livre pionnier de Daniele BELTRAMI,Forze di lavoro e proprietà fondarie nelle campagne venete dei secoli XVII et XVIII,1961.
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279 .J’ai suivi le résumé de M.SORRE,Les fondements biologiques de la géographie humaine,p.397 et sq.Y ajouter C.de CUPIS,Le Vicendedell’agricoltura e della pastorizia nell’agro romano e l’Annona di Roma,Rome,1911,PFALZ,art.cit.,pp.133—134,et surtout Jean DELUMEAU,op.cit.,II,p.521 et sq.
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280 .Vita di Benvenuto Cellini scritta da lui medesimo,trad.fr.,Paris,1922,II,pp.240—246.
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281 .C.TRASSELLI,“Notizie economiche sui Corsi in Roma（secolo XVI）”,in
:Archivio storico di Corsica,X,oct.-déc.1934,p.576 et sq.
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282 .Lettres d’Italie,op.cit.,I,pp.312—3.Sur le vide de la campagne romaine
:“Aujourd’hui,ce sont des paysans de la Sabine et de l’Abruzze qui viennent de temps en temps semer quelques cantons de la campagne et s’en retournent jusqu’à la récolte”.L’explication du Pr.de Brosses sur les causes de la dépopulation et notamment la responsabilité de Sixte Quint,appelle de longs correctifs.Pastor pense que,si le mal paludéen s’aggrave,c’est peutêtre par le fait du déboisement
:la lutte contre les bandits,à l’époque de Sixte Quint,se traduit en effet par l’incendie systématique des maquis qui leur servaient de repaires.
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283 .M.SORRE,op.cit.,p.398.
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284 .Voyez combien E.QUINET,Mes vacances en Espagne,1881,p.320,est impressionné par les “marécages”du Guadalquivir.Entendez les latifundia humides des Marismas où s’élèvent des taureaux à demi sauvages,une vaste région de prairies en fleurs au printemps.
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285 .E.F.GAUTIER,Genséric,roi des Vandales,Pairs,1932,p.109.
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286 .Sur ces questions,la très riche enquête de Georg NIEMEIER,op.cit.,p.37,56—57,les ravages de la reconquête au delà du Guadalquivir.La colonisation systématique de l’Andalousie ne commence guère qu’avec Charles III.Elle est entreprise avec des colons allemands（p.57）.Pour les vides qui subsistent en 1767,voir la figure 8,page 62 du même ouvrage.Une seule colonisation au XVIe siècle
:Mancha Real,fondée en 1540,dans la steppe de Jaen.Remarque décisive p.100,sur l’importance de l’âge—donc de l’histoire —pour le régime des propriétés.A ce propos,comparaison d’une vieille communauté,Cordoue,avec une nouvelle,Carlotta,fondée en 1767.Pour l’exportation sévillane d’huile,de 60 à 70,000 quintaux,Pedro de MEDINA,Libro de grandezas y cosas memorables de España,1548,fo 122.
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287 .G.BOTERO,op.cit.,p.8.
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288 .Baron Jean-François Bourgoing,Nouveau voyage en Espagne,1789,III,p.50.
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289 .Voir infra,I,p.530 et sq.
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290 .Au dossier historique dela transhumance,il faut verser les documents relatifs aux pâturages des présides de Toscane（Sil.Secretarias Provinciales de Napoles,legajo no.1,25 janvi.1566,20 fév.1566,5 mars 1566,15 mars 1566）.Une lettre du duc d’Alcala au prince de Florence（copie Simancas,1055,fo 37） et la réponse du prince （Ibid.,fo 66）,au sujet des impôts établis par les Toscans sur les troupeaux transhumants qui gagnent la côte des présides.Un document en italien,sans date,adressé à Philippe II（sans doute de cette même année 1566）dit l’attrait pour les propriétaires de troupeaux,des pâturages de la zone chaude des présides,en bordure de la mer.La taxe à la sortie vers les pâturages des présides,établie par les Toscans,est de 10 lires pour 100 têtes de bétail di pecore,capre et altro bestiame（Simancas,Eo 1446,fo 45）.Sur la location de ces herbages,cf.24 août 1587,A.d.S.Naples,Sommaria,fasc.227.Sur l’importance énorme de“l’aduanero”de Foggia pour la transhumance,voir B.N.Paris,Esp.127.fo 61 et 61vo （vers 1600） et l’indication de la grosse affaire litigieuse d’un des fermiers de cette douane,le marquis de la Paluda,dont les excès déterminèrent une action en justice.
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A consulter une abondante littérature géographique.Cf.l’hypothèse de DEFFONTAINES sur les origines（dans la 4e édition,1935,de Jean BRUNHES,Géographie humaine,p.184）;P.GEORGE,op.cit.（355 et sq）;le livre déjà cité de Jules BLACHE et particulièrement les p.18 et sq.,21,31
:P.ARQUÉ,op.cit.,p.43.On trouvera un excellent résumé du problème en Méditerranée,avec une carte de la situation en 1938 dans le bassin tout entier,dans l’article d’E.MÜLLER,“Die Herdenwanderungen im Mittelmeergebiet”,in
:Peterm.Mitteilungen,84,1938,pp.364—370,avec bibliographie et notamment mention des grands livres de J.FRÖDIN,Zentraleuropas Almwirtschaft,2 vol.,1941 et de MERNER,Das Nomadentum in Nord-Westlichen Afrika,Stuttgart,1937.Le gros problème n’est pas seulement de dresser un répertoire de formes de la transhumance,c’est aussi d’en chercher les limites vers le Nord par rapport à la vie pastorale de type alpin,vers le Sud par rapport au nomadsme de la steppe,ce qui revient à un essai de bornage des pays méditerranéens.Les études récentes de X.de PLANHOL,dont on trouvera plusloin（I,p.79,note 1,p.86,note 1）,les références,sont sur ce pointdécisives.
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291 .J.J.ESTRANGIN,Études archéologiques,historiques et statistiques sur Arles,1838,p.334 et sq.
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292 .Fernand BENOIT,in
:Encyclopédie des Bouches-du-Rhône,t.XIV,p.628.Sur le rôle des “eapitalistes”,voir les notes rapides mais éclairantes d’ALBITRECCIA,op.cit.,p.256 et sq.
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293 .G.DESDEVISES DU DÉZERT,Don Carlos d’Aragon,Prince de Viane,Étude sur l’Espagne du Nord au XVe siècle,1889,p.27.
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