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42 .A.d.S., Florence, Mediceo 2079, fos 305, 306, 345.
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43 .Cadix, 2 juin 1561, Simancas E°140.
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44 .2 juin 1561, Simancas E° 140.Soit 80 km par jour.
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45 .Dr. SOTTAS, op. cit., p. 183.
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46 .Voir supra, p. 243.
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47 .C’est-à-dire les relevés portuaires des arrivées de bateaux et de marchandises.
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48 .A.d.S., Florence, Mediceo 2080.
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49 .Nouvelles et spéculations à Venise,1948.
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50 .Voir p. 419,à la fin du chapitre, la reproduction d’une carpeta.
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51 .Les calculs qui précèdent d’après les correspondances d’Espagnols établis à Venise, entre 1589 et 1597, conservées (hier) aux Archives Nationales, K 1674, 1675, 1676 et à Simancas E° 1345. J’ai fait un ou deux emprunts aux Lettere Commerciali, 12 ter A.d.S., Venise. A noter que la distance Raguse-Constantinople, en hiver, est de l’ordre d’un mois. La moyenne que suggère tel calcul contemporain (A.d.S., Venise, Papadopoli, Codice 12, f° 26 v°, vers 1587) est trop optimiste: en été le voyage de Constantinople à Cattaro se ferait en 16 ou 17 jours…“Da Cataro poi a Venetia con le fregate ordinarie secondo i tempi ma ut plurimum in otto griorni”. Soit, au total, de 24 à 25 jours. Sur le trajet Venise-Madrid, voici quelques chiffres pris à la correspondance de deux ambassadeurs vénitiens à Madrid,P° Priuli et P° Gritti: 19 novembre 1612, il y a soixante jours que P° Priuli est sans nouvelles; délais des lettres reçues à Madrid les 5 et 9 décembre 1612, 18 jours et 27 jours toutes deux envoyées de Venise par courrier exprès—les délais, en 1616 et 1617, de quelques lettres reçues par Gritti: 33, 45, 21, 27, 26, 20, 20 jours… A.d.S. Venise, Senato Dispacci.
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52 .Voir supra, p. 332 et note 10.
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53 .A.d.S., Modène, Cancellaria Ducale d’Este, Venezia 77. VI/10. J. Tebaldi au duc de Ferrare,Venise,19 janvier 1522.
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54 .K.O. MÜLLER,Welthandelsbräuche 1480—1545,2e tirage,1962,p.29.
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55 .Exception confirmant la règle,les Génois envoient des courriers spéciaux de Madrid à Anvers ayant intérêt sur cette dernière place à rencontrer la “largesse”,V. VAZQUEZ DE PRADA,op. cit.,I, p.36.
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56 .Simancas,Consejo y Juntas de Hacienda,28. Dans une liste de frais de Chantonnay,à la date du 14 juillet 1560.
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57 .Francés de Alava au roi, 6 mars 1567, A.N.,K 1507, n° 70, cité par H.FORNERON,Histoire de Philippe II, 1881, t. II, p. 219, note 1. Ce courrier serait dépêché par les rebelles des Pays-Bas à Montigny alors enEspagne. Voir V. VAZQUEZ DE PRADA, Lettres marchandes d’Anvers, 1960, I, p. 40.
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58 .Henri LAPEYRE, “E1 Archivo de Simon y Cosme Ruiz”, in Moneda y Credito, juin 1948.
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59 .British Museum, Add 14009, f° 38, Consulta de Consejo de Italia, Madrid, 2 octobre 1623.
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60 .V.VAZQUEZ DE PRADA, Lettres marchandes d’Anvers, I, p.241—242.
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61 .Les calculs et la cartographie ont été faits par Frank Spooner sur mes indications. Une cartographie de l’espace est possible, au XVIe siècle et faite, à partir de Lyon, par R.GASCON, op.cit., notamment p. 308.
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62 .Mémoires du Duc de Sully (nouvelle édition), 1822, I, p. 68.
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63 .R.GASCON, op.cit.(dactylogramme), p. 318.
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64 .A.d.S. Venise, le baile au doge, Constantinople, 8 août 1605.
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65 .R.GASCON, ibid., p. 308, donne pour le XVIe siècle les vitesses suivantes (moyennes): pour les marchandises de 17 à 44 km par jour (44, sur la route de Lyon aux Pays-Bas par Amiens; 17, sur celle de Burgos par le Massif Central); sur la Saône à la remontée, de 14 à 25, à la descente du Rhône, jusqu’à 90. De Roanne à Tours, roulage accéléré, 65. Pour les voyageurs à cheval, 40; 90, par la poste. Les courriers rapides pour l’Italie de 170 à 200.
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66 .Yves RENOUARD, “Comment les Papes d’Avignon expédiaient leur courrier”, in: Revue Historique, 1937. Voir notamment le tableau de la page 59 (tirage à part), ces vitesses, dit l’auteur, “sont à notre connaissance les plus rapides de l’époque”. Voir aussi leur prix élevé, ibid., p. 29. Considérations analogues à celles que développe notre paragraphe: Armando SAPORI, Studi di storia economica, 3e éd., 1995, pp. 635—636.
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